BST – Blockchain for Smart Transactions
Descriptif du projet
Faire la démonstration des usages et services rendus possibles par l’utilisation d’un tiers.
La blockchain est probablement appelée à révolutionner les transactions et les échanges ; au même titre qu’Internet a permis la communication pair-à-pair, la blockchain assurera dans les années à venir les transactions pair-à-pair avec une logique décentralisée et autonome. S’intéresser aujourd’hui à ses applications possibles, c’est prendre un temps d’avance sur la prochaine étape de la révolution digitale et l’avènement d’une société « horizontale » et sans intermédiaires.
Lancé en 2016 pour une durée de quatre ans, le projet BST vise à répondre à trois grands enjeux pour les partenaires du projet et leurs clients : améliorer leur offre de services, optimiser les coûts et développer de nouveaux usages.
Résultats attendus
- Identifier les usages pouvant valoriser les services autour de la confiance numérique s’appuyant sur des architectures de type blockchain ;
- Définir les conditions techniques, juridiques, économiques et sociales permettant le déploiement de services orientés blockchain ;
- Développer une plateforme numérique modulaire permettant l’instanciation de cas d’usage cross-domaines s’appuyant sur une blockchain.
Compétences mises en œuvre
Science des données & IA | |
Sécurité numérique et blockchain |
Cibles visées
- Logistique
- Energie
- Mobilité
- Véhicule connecté
- Etc.
Thèses encadrées dans le cadre du projet
- Thèse #1 : Applicabilité des textes juridiques sur la Blockchain
Hanna-Mae Bisserier, Célia Zolinsky (Paris 1), Daniel Augot (Inria), Charles Kremer (Blockchain XDev) - Thèse #2 : Consensus blockchain et IoT
Antoine Durand, Gérard Mémmi (Telecom Paris Tech), David Leporini (Atos), Khalifa Toumi (IRT SystemX) - Thèse #3 : Calcul mulipartite sécurisé et blockchain
Lucas Benmouffok, Daniel Augot (Inria), Kalpana Singh (IRT SystemX) - Thèse #4 : Analyse visuelle pour l’exploration de données blockchain
Natkamon Tovanich, Jean-Daniel Fekete et Petra Isenberg (Inria), Nicolas Heulot (IRT SystemX)